Ces balles de neige

Posted in Trucs et astuces with tags , , , , , on 12 février 2013 by Pareidolia

Balles de neige sur les pattes d'un chienSurement cela vous est-il déjà arrivé? À tout le moins, si votre compagnon a les poils moindrement longs, ou si son pelage est laineux, grandes sont les chances que vous soyez déjà allés en randonnée en raquettes ou en ski de fond pour le retrouver couvert de boules de glace. Si non, peut-être avez-vous déjà promené votre quadrupède par une journée pluvieuse, pour ensuite devoir le sécher pendant de longues minutes pour éviter qu’il ne répande dans la maison l’équivalent du lac Supérieur.

Nous, ça nous est arrivé à plusieurs reprises et c’est pourquoi nous avons cherché une solution qui nous permettrait d’économiser un temps fou. Aujourd’hui, c’est avec plaisir que nous partageons avec vous le résultat de nos recherches. Nous n’avons aucunement la prétention de vous proposer l’ensemble des possibilités, mais plutôt les quelques unes qui ont particulièrement attiré notre attention.

Tout d’abord, pourquoi ne pas débuter par une entreprise Québécoise? La compagnie Allô à l’eau propose depuis déjà quelques années des imperméables pour vos amis canins. Là où ça devient Guêtres pour chienintéressant, c’est qu’ils font aussi des manches autoportantes, qui protègent les pattes de votre chien de l’eau, de la boue ou des boules de glace. Ça ressemble un peu à des guêtres. Nous avons les nôtres depuis maintenant plus de trois ans, et elles sont toujours impeccables comme au premier jour. Ces manches s’installent assez facilement et offrent une bonne protection de base. Cependant, comme elles ne couvrent pas la poitrine du chien, ce dernier accumulera tout de même un peu d’eau lors des jours de pluie. La seule petite faille que nous ayons découvert à ces manches, mais qui se règle assez facilement, est le petit anneau métallique qui est supposé tenir en place l’élastique et permettre de l’ajuster à la grandeur voulue. Si votre chien est moindrement actif, cet anneau ne gardera pas bien l’élastique en place. Par contre, un simple noeud dans l’élastique le fixera définitivement à la grandeur voulue. Simple non? C’est donc un produit très intéressant. Il peut être un peu difficile à trouver, car il n’est pas tenu partout et le site web de la compagnie n’est pas transactionnel. Par contre, si vous êtes dans la région de Montréal ou de Longueuil, sachez que le Centre Canin Heidi en a généralement en inventaire. S’ils n’ont pas la grandeur que vous cherchez, ils peuvent vous la commander sans problème. Il ne s’agit pas de la solution la moins dispendieuse, mais notons tout de même que c’est le seul produit de notre liste qui est conçu et fabriqué au Québec. Ce n’est quand même pas négligeable.

Si vous voulez augmenter d’un cran le niveau de protection, une compagnie canadienne nommée Muddy Mutts fabrique un espèce de pantalon qui protègera à la fois les pattes et le dessous de ventre de votre animal. Nous ne pouvons vous en parler en détail, car nous n’avons pas pu mettre la patte sur un exemplaire pour le tester. Nous avons écris à la compagnie, mais n’avons eu aucun retour de leur part. Mentionnons tout de même que leur produit est conçu et fabriqué au Canada.

Maintenant, passons à la protection totale: un ensemble de pluie pour chien, qui protègera la presque totalité de votre toutou. Plusieurs compagnies offrent de tels produits, mais nous en avons retenu deux et nous vous expliquerons pourquoi.

Débutons avec la compagnie Hurtta Collection. Il s’agit d’une compagnie Finlandaise qui fabrique des vêtements de plein air pour chien. Nous avons retenu leur produit parce qu’il offre, selon nous, le look le plus intéressant mais aussi une qualité qui semble exceptionnelle. Le tissu utilisé est, selon leur site web, respirant. De plus, des élastiques à l’encolure et à la taille permettent un ajustement parfait à votre chien. Nous n’avons pas eu la chance d’essayer ce produit non plus, mais nous avons tout de même eu l’occasion de l’examiner de près étant donné qu’il est disponible dans quelques boutiques de la région de Montréal. Il peut aussi être trouvé relativement facilement sur le web. Par contre, il est important de noter qu’il s’agit là de la solution la plus dispendieuse de celles que nous vous présentons ici. Il faudra compter près de 100$ pour un ensemble imperméable.

Habits impermeables pour chienFinalement, la toute dernière solution, mais non la moindre. Il s’agit de l’ensemble de pluie de la compagnie canadienne Neo-Paws Internationnal. C’est un ensemble en nylon. Il n’offre donc pas une très grande respirabilité. Cependant, sachant que les chiens ne transpirent pas et qu’ils évacuent leur chaleur par leur respiration et le dessous de leurs pattes, ce critère est beaucoup moins important que si vous étiez à la recherche d’un imperméable pour vous. Le nylon vous offrira une excellente protection contre l’eau et la neige. L’ensemble est très facile à enfiler au chien. Nous avons reçu les nôtres récemment et n’avons donc eu que peu d’occasion de les tester à fond, mais les essais que nous avons fait jusqu’à présent nous ont vraiment satisfait. La qualité semble très bonne. De plus, il s’agit de l’option la moins dispendieuse parmi celles que nous vous avons présentés. Par contre, seul petit hic, bien que ces habits soient vendus par une compagnie canadienne, ils sont malheureusement fabriqués en Chine.

En espérant que nos suggestions vous plairont, et surtout qu’elles vous permettront d’économiser beaucoup de temps. N’hésitez pas à partager avec nous vos expériences, que ce soit avec les produits que nous vous avons présentés ou tout autre produit. Et surtout, profitez bien de l’hiver.

Joyeuses Fêtes

Posted in Divers with tags , on 24 décembre 2012 by Pareidolia

La truffe au vent vous souhaite à tous, bipèdes et quadrupèdes, un très joyeux temps des Fêtes et une merveilleuse année 2013 remplie de belles escapades en plein air.

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Un hommage à mon gros nounours : Bear

Posted in Divers with tags , , , on 15 avril 2012 by Pareidolia

S’il existait un prix pour souligner le support de nos amis canins lors de moments difficiles, je le décernerais sans hésitation à Bear et sa présence apaisante.

Le 9 avril dernier, mon père est terrassé par un infarctus très grave et il est transporté d’urgence, par avion, de Rimouski à Québec.

Dès que nous avons appris la nouvelle, Bear a senti qu’il se passait quelque chose. Bear est resté immobile pendant plus d’une heure et demie, debout dans la voiture qui roulait, la tête sur le bras de ma mère. Il lui a apporté réconfort pendant tout le trajet.

Arrivé à Québec, nous avons dû séjourner quelques jours à l’hôtel avec trois chiens. Nouky, le chien de mes parents, Saucony et Bear. L’Hôtel Champlain a gentiment accepté de nous accueillir avec nos quadrupèdes. Même si Bear était le plus jeune, il a été particulièrement calme, attentif, rassurant et présent pour nous.

La première nuit a été très stressante pour la famille. Comme nos chiens n’ont jamais eu la permission de monter sur les lits, Bear n’y a déposé que ses pattes avant, pour appuyer sa tête sur mon épaule. Il n’a pas bougé pendant plus d’une demie heure.

À chaque heure, Bear a fait sa tournée. Il venait me donner un petit coup de nez, ensuite à ma mère et il retournait se coucher entre les deux lits. On dirait qu’il s’était donné un devoir de s’assurer que les filles étaient bien correctes.

Au moment d’écrire ces mots, je suis toujours à Québec, quatre jours plus tard. Mon conjoint et les chiens sont retournés à Montréal et à chaque fois que nous nous parlons sur Skype, Bear se fait un plaisir de venir me montrer son gros nez à la caméra.

Heureusement, l’histoire se termine bien, car demain mon père que j’adore, pourra retourner à la maison rejoindre ma mère et moi je pourrai retourner avec ma petite famille.

Il est certain que de vivre une telle situation avec la présence des chiens augmente énormément la complexité de la logistique. Toutefois, la douceur, le calme, la présence apaisante des toutous, notamment Bear, nous aide à passer à travers des épreuves que nous ne pensions jamais être capable de traverser.

Une grosse médaille pour toi Bear!

Une retraite bien méritée

Posted in Organisme with tags , , , on 21 octobre 2011 by Pareidolia

Vous êtes-vous déjà demandé ce que font les chiens de course une fois leur carrière terminée? Avez-vous déjà rencontré un lévrier? Une entrevue fort intéressante avec les fondateurs de SOS Lévrier du Québec (Greyhound Rescue Québec), Shirley Smith et son époux Ernest Montreuil, nous a permis de découvrir cette race et son parcours pour le moins particulier. Nous avons réalisé qu’effectivement il s’agit d’une race de chien que nous ne rencontrons pas fréquemment.

Tout d’abord, connaissez-vous les lévriers? Ce sont ces grands chiens sveltes que l’on voit dans les courses. Mais, au-delà de leurs exploits sportifs, que savez-vous vraiment de ces chiens? Par exemple, saviez-vous que, bien qu’ils soient des sprinters extraordinaires, les lévriers sont des chiens nécessitant un niveau d’activité modéré? En effet, ces athlètes peuvent atteindre la vitesse impressionnante de 70 km/h en seulement trois enjambées. Par contre, ils ne maintiendront ce rythme que sur une très courte distance. Étonnament, deux marches de trente à quarante-cinq minutes par jour combleront leurs besoins quotidiens d’exercice. Non seulement ils sont réputés être des chiens tranquilles, ils sont aussi très silencieux. En effet, les lévriers jappent très peu.

Les particularités ne s’arrêtent pas là. Si vous regardez attentivement la tête de ces canidés, vous remarquerez qu’elle est relativement petite. Elle est en fait sensiblement de même diamètre que leur long cou, ce qui rend non recommandable l’utilisation d’un collier standard qui pourrait facilement s’enlever. C’est pourquoi la presque totalité des propriétaires les habillent d’un collier à martingale.

Fait encore plus surprenant, certains organes internes des lévriers sont de taille plus importante que ceux de la moyenne des chiens. Entre autre, le coeur est près de 30% plus gros. Cette différence physiologique signifie aussi que des prélèvements sanguins montreront des résultats différents de ce qui est normalement observé chez les autres races. C’est ce qui explique que ces toutous reçoivent très fréquemment de mauvais diagnostics.

Parmi les autres caractéristiques des lévriers, notons que leur très faible taux de gras ainsi que leur pelage plutôt mince font en sorte que leur peau peut facilement être déchirée. Raison de plus, pour son propriétaire, de s’assurer de les tenir loin de sources potentielles de danger.

Comme pour les athlètes de haut niveau, ces « courseurs » prennent leur retraite plutôt jeunes: généralement entre 2 et 5 ans. Mais que leur arrive-t-il alors? Plusieurs organismes en Amérique du Nord feront des pieds et des mains afin de leur trouver une famille d’adoption qui pourra leur donner une retraite douce et confortable. On estime qu’environ16 000 lévriers trouvent un foyer douillet et ce, à chaque année. Malheureusement, ce chiffre ne représente qu’environ 35% de tous les retraités. Ce n’est qu’en faisant connaître un peu plus ces adorables compagnons que nous pourrons, collectivement, augmenter ce taux de placement.

Il y a environ 13 ans que fut fondé SOS Lévrier du Québec. Madame Smith a débuté comme bénévole pour un organisme nommé Greyhound Rescue Montreal, qui venait de se relocaliser à Toronto. Désirant poursuivre ce genre d’opérations dans la région, elle décida de fonder son propre organisme. Les chiens placés proviennent des États-Unis, principalement de la Floride. Le fonctionnement est plutôt simple. Une personne intéressée à adopter un lévrier les contacte. Une rencontre s’en suit, au cours de laquelle le nouvel adoptant apprendra une foule d’informations sur cette race. Par la même occasion, on s’informe sur le nouvel environnement du jeune retraité. Y a-t-il des enfants? D’autres animaux? Est- ce une famille active ou plus pantouflarde? Toutes ces informations permettront de faire un profilage visant à effectuer un « match parfait ». L’adoptant ne pourra que choisir le sexe de l’animal. On lui demandera aussi s’il y a des couleurs qu’il aime moins, mais ceci ne constitue en rien une garantie que le chien identifié pour lui ne sera pas de cette couleur. Le dossier est ensuite envoyé en Floride où des tests seront effectués en fonction des caractéristiques de la famille adoptante. On verra, entre autres, comment le chien réagit en présence d’enfants ou d’animaux.

Une fois le jumelage effectué, une proposition est envoyée à l’adoptant, avec des photos, pour approbation. En tout et partout, il faut compter quelques semaines entre le contact initial et le moment où votre nouveau compagnon se prélassera sur votre sofa. Le lévrier que vous adopterez sera âgé entre 2 et 5 ans, sera stérilisé, détartré et aura reçu tous ses vaccins. Tout ça pour un prix très minime. En fait, SOS Lévrier du Québec ne vend pas les chiens. Les 350$ demandés ne servent qu’à couvrir les frais des traitements vétérinaires. Évidemment vous pourriez, à votre discrétion, profiter de l’économie ainsi réalisée pour faire un don qui aidera l’organisme à poursuivre ses opérations.

Rassurez-vous. Lorsque vous reviendrez à la maison avec votre nouvel ami, vous ne serez pas laissé seul. Vous recevrez fréquemment des coups de fil pour voir comment se passe l’intégration à sa nouvelle famille. Vous recevrez aussi une foule de conseils utiles afin de vous assurer que votre poilu s’adapte le plus harmonieusement possible à sa nouvelle vie. Par exemple, il est recommandé, dans les premières semaines, de limiter l’affection donnée à votre lévrier. Même si cela peut paraitre étrange comme conseil, vous comprendrez son bien-fondé. Premièrement, le lévrier est un chien naturellement très attaché aux humains. De plus, dans la première partie de sa vie, il n’aura eu qu’une interaction minimale avec les humains. Donc, s’il devient du jour au lendemain le centre d’attraction et un aimant à caresses, il pourra développer de l’anxiété de séparation. C’est donc pour éviter cette situation qu’il est recommandé de ne pas inonder d’affection votre nouvel arrivant, même si la tentation risque d’être forte.

Que vous soyez plus sédentaire ou que vous désiriez avoir un compagnon pour jogger avec vous, le lévrier s’adaptera a votre style de vie, car ce qu’il aime le plus au monde, c’est partager du temps avec son ami humain.

Si, tout comme nous, vous êtes tombé sous le charme de ce sportif de salon et que vous aimeriez en apprendre davantage, il est recommandé de lire le livre « Adopting the racing Greyhound » de  Cynthia Branigan. Si vous croyez que votre foyer constituerait une maison de retraite idéale pour un (ou plusieurs) lévrier(s), vous pouvez joindre SOS Lévrier du Québec au 514-624-6335 ou encore par courriel à l’adresse greyhoundrescuequebec@hotmail.com.

Encore une fois, nous tenons à remercier la très grande générosité et l’accueil de Shirley Smith, de Ernest Montreuil et de leur belle Misty. Votre implication est inspirante! Merci!

Un, c’est bien mais douze, c’est mieux!

Posted in Lieux, Sorties / escapades with tags , , , , , , , , , , on 26 août 2011 by Pareidolia

Il y a maintenant un an, nous vous parlions de notre petit coin de paradis à Lake Placid. Notre tradition d’y séjourner un long weekend s’est poursuivie cette année mais, cette fois-ci, étaient au rendez-vous douze humains et sept canidés.

Depuis plusieurs mois, nous planifions notre agenda pour réserver le long weekend du 1er juillet. Eh oui, nous avons passé la fête de la Confédération en sol américain…Sacrilège!

Le coeur léger, la liberté nous attendait. C’est dans cet état d’esprit que nous avons pris la route pour les Adirondaks.

Le lendemain de notre arrivée, nous avons décidé d’entreprendre l’ascension du mont Van Hoevenberg. Il s’agit d’une randonnée de 7 kilomètres représentant un dénivelé de 225 mètres. Il faut compter environ 2 heures 45 minutes de randonnée. Le sentier s’emprunte via la Meadow Road, qui est située à moins d’un kilomètre de l’Adirondak Loj. Ce fut une randonnée relativement facile bien que nous ayons eu quelques petites difficultés. En effet, à peu près à mi-chemin durant l’ascension, il y avait un passage marécageux. Le sentier était extrêmement boueux et nous avons eu un peu de difficulté à repérer les marques d’identification du sentier. Mais ce ne fut qu’un court passage. Du sommet, la vue était magnifique. On pouvait y apercevoir, entre autres, les monts Algonquins et Marcy. Après une petite pause au sommet, nous avons réemprunté le même sentier pour retourner à notre point d’origine.

Le jour suivant, plus belle journée de notre court séjour, notre choix de randonnée s’était arrêté sur le mont Phelps. Ceux qui nous lisent depuis déjà plus d’un an remarqueront que nous avions gravi cette montagne lors de notre séjour dans la région l’année dernière. Par contre, il y avait plusieurs personnes qui n’y étaient pas. De plus, ce sentier a l’avantage de se prendre directement depuis le stationnement de l’Adirondak Loj, donc pas besoin d’utiliser les voitures. Sans être extrêmement difficile, cette randonnée représentait tout de même un défi plus grand que celle de la veille. Elle compte 14,2 kilomètres et un dénivelé de 604 mètres. Le temps requis pour cette randonnée est d’environ 5 heures 30 minutes. Sur la première partie, le sentier est le même que pour les monts Marcy et Algonquin. Les premiers 3,7 kilomètres nous menèrent au magnifique “Marcy Dam”. La vue sur le bassin y est magnifique. De plus, en cette chaude journée, les chiens ont bien apprécié de pouvoir se mettre les pattes à l’eau, histoire de se rafraîchir un peu. De l’autre côté du barrage, à environ 5,2 kilomètres du départ, se trouve l’intersection pour le mont Phelps, à gauche. À partir de ce moment, la montée devient plus prononcée. Comme l’année dernière, une partie du groupe a rebroussé chemin avant d’atteindre le sommet. C’est qu’à un certain point, la montée est tellement abrupte que cela devient même difficile pour les chiens. La palme d’or va à Sandra, Luc, Éric et Félix ainsi qu’à Sapi et Rufus qui, eux, ont bravé le sentier jusqu’au sommet.

Il est vraiment amusant de voir les différences entre les chiens durant de telles sorties. Alors que certains d’entre eux, dont Bear et Saucony, prenaient un malin plaisir à patauger dans toutes les flaques de boue qu’ils voyaient, d’autres, plus citadins, osaient à peine se mouiller le bout des pattes. Hein Onyx?

Au delà des montagnes magnifiques que nous avons parcourues, notre weekend a été un vrai buffet de petits plaisirs. Des petits plaisirs qui resteront parfois immortalisés sur des photos ou, tout simplement, gravés dans notre mémoire. Étant donné que Lake Placid a accueilli les Jeux Olympiques de 1980, nous vous proposons notre propre classement olympien. Ainsi, nous remettons :
– Le prix cook de l’année à Luc qui nous a fait des capuccinos exquis et des steaks à faire pâlir les meilleurs steak houses;
– Le prix mini-randonneur à Charles qui, du haut de ses un an et demi, a été un bébé parfait;
– Le prix Hercules à Manu qui a transporté Charles sur son dos pendant 4 heures;
– Le prix toupet à Onyx (Bouvier des flandres) et Rufus (Griffon Korthal) pour leur slalom raté entre les arbres. Ça fait mal un arbre!
– Le prix monstre des marais à Saucony qui a eu la brillante idée de se rouler dans la boue et, ensuite, dans les brindilles et feuilles de toutes sortes;
– Le prix maître nageur à Sapi qui a enseigné à Bear les rudiments de la nage;
– Le prix Lucky Luke à Sapi qui a volé un steak plus vite que son ombre (et plus vite que Sandra);
– Le prix méchante belle gang à Hélène, Luc, Sandra, Pierre, France, Éric, Félix, Cécile, Manu et Charles pour votre agréable présence avec nous.

Encore une fois cette année nous avons passé une fin de semaine magnifique, dans un endroit paradisiaque, et en excellente compagnie. Et, en plus, nos chiens étaient les bienvenus. Quoi demander de plus?

Vous pouvez voir quelques photos de cette sortie ici.